dimanche 1 juin 2008
Jetlag
J’ai le décalage horaire dans les pattes, dans la tête, le compas à l’envers. De retour à Paris, A1 transfert de CDG à Paris-centre par taxi, ciel vagabond, je vais prendre le courrier, une douche, vider ma valise dans le bac à linge triste, la re-remplir avec les habits mettable qui me reste et c’est reparti pour l’aéroport, il n’y a pas de temps, de jour, de nuit, de fatigué/pas fatigué. C’est le décalage en suivi, une course sans étape dans un brouillard soft and snow.
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